Des symptômes soudains

Arrivent soudain une série de crises de migraines intempestives. Il prend des comprimés d’aspirine comme on le lui conseille, mais rien n’y fait. La douleur semble s’installer pour durer. Puis, vient l’éclair de génie qui lui fait analyser ce qui a changé dans sa vie et ses habitudes, ce qui aurait fait décliner la santé.
Il vient de démissionner de son poste de responsable technique qu’il a occupé depuis 15 ans pour intégrer un nouvel emploi de gestionnaire de projet. Fini le dépannage, exit la conduite de travaux. La journée consiste désormais à lire, calculer, réfléchir, écrire. Les pages défilent, sur le papier et sur l’écran.
Il ne lui serait jamais venu à l’idée de consulter un ophtalmologue ou un opticien. D’ailleurs, quand son généraliste lui propose d’aller en consulter un, il trouve encore le moyen de discuter du diagnostic en arguant qu’il voit bien. Et pourtant, l’inconfort devenant plus pressant, il se résout à y aller.

Le diagnostic

L’opticien lui fait son test de vision sans rendez-vous, derrière son magasin de lunetterie et là, il tombe de haut en apprenant que sa vue doit être corrigée aussi bien en vision de près qu’en vision de loin. En effet, il lui est dit qu’il souffre d’astigmatisme, d’une myopie à -0.25 dioptries de l’œil droit et d‘une presbytie à + 0,50 des deux yeux. Autant de termes inquiétants qu’il n’aurait jamais imaginés.
L’évolution vers une presbytie est assez normale à son âge, mais il semble bizarre que les visites médicales systématiques réalisées depuis son enfance, jusqu’à la fin de ses études, et sa visite médicale d’embauche n’aient jamais signalé de problème de vue.
Y aurait-il des améliorations à apporter dans le système ou des explications supplémentaires à apporter au public ?

Oui, le soleil est excellent

Vous n’en êtes pas conscient et la sensibilité de chacun diffère mais une chose est sûre : la lumière du soleil aide votre corps à produire des neuro-hormones du bien-être. Ces hormones régulent l’appétit, ce qui veut dire que vous n’aurez pas envie de grignoter ni envie de choses grasses et sucrées. Du coup, on peut dire que le soleil aide à perdre du poids, en tout cas, ne pas en gagner. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est plus facile de maigrir en été. Oui, le soleil vous booste, recharge vos batteries, vous rend en forme. Le soleil a aussi le chic d’équilibrer la chronobiologie, ce qui, en termes simples, signifie qu’il régule votre cycle de sommeil. Le soleil permet aussi une meilleure oxygénation.

Que du bon !

Le soleil vous apporte une foule de bienfaits, et l’un d’entre eux, c’est qu’il favorise la synthèse de la vitamine D, comme le ferait la consommation d’une alimentation riche en poissons gras ou d’huile de foie de morue. Quelques minutes d’exposition suffisent et veillez à ce que vos avant-bras soient exposés pendant une quinzaine de minutes, 3 fois par semaine. De récentes études ont montré qu’un niveau suffisant en vitamine D aide dans la lutte contre la Covid-19. Le soleil réduit la pression artérielle et bon pour soigner certaines maladies de peau telles l’eczéma, le psoriasis et le vitiligo.

Les causes d’une intolérance au lactose

Le lactose se retrouve principalement dans le lait de vache ainsi que celui d’autres animaux. Il s’agit d’un produit qui est digéré par une enzyme appelée lactase se situant dans l’intestin grêle. Chez certains individus, cette enzyme a du mal à être sécrétée, ce qui rend la digestion du lait difficile. C’est ce qui crée alors de l’inconfort au niveau abdominal.
Cependant, il est important de faire la différence entre une intolérance au lactose et une allergie au lait. Cette dernière est une maladie assez rare et qui se manifeste directement après la consommation de produits laitiers. Tandis que l’intolérance au lactose ne produit ses premiers symptômes qu’après plusieurs heures après la consommation.

Les symptômes de l’intolérance

Pour reconnaître une intolérance au lactose, il y a des signes qui ne trompent jamais. Ce sont principalement des inconforts intestinaux tels que des ballonnements et des flatulences, mais aussi de la diarrhée dans certains cas. La sévérité des cas diffère selon les individus. Pour des cas graves, on peut noter des crampes et des douleurs violentes, ainsi que des vomissements.
Pour diagnostiquer convenablement une intolérance au lactose, il est important de passer par plusieurs tests médicaux. On cite le test d’intolérance au lactose en soi, mais aussi un test respiratoire, un test 13C et un test de l’acidité des fèces.

Faire de la mammographie tous les 2 ans

Pour les personnes âgées de plus de 50 ans, il est conseillé de réaliser une mammographie tous les 2 ans. Ce test de dépistage aide à diagnostiquer un éventuel cancer du sein. Bien que l’autoexamen ne soit pas trop recommandé par les médecins, il est quand même bien de faire attention à certains signes du corps au niveau de la poitrine comme la douleur, la bosse au toucher, l’inflammation du sein ou du bras.

Pratiquer de l’exercice physique

En plus de maintenir une bonne santé, l’exercice physique agit sur les niveaux d’hormone et les facteurs de développement du cancer. Si vous êtes du genre sédentaire, vous devez fixer des objectifs réalistes et graduels pour bien commencer la pratique régulière d’un sport.

Limiter la consommation d’alcool

La consommation d’alcool favorise aussi l’apparition d’un cancer du sein, surtout s’il n’y a aucune modération. Le mieux est de commencer à diminuer vos nombres de verres afin de diminuer le risque de cancer du sein. Comme référence, une consommation de vin de 142 ml représente environ 12 % d’alcool et 43 ml de spiritueux, 40 % d’alcool.

S’arrêter de fumer

Le tabagisme constitue un des facteurs qui peut augmenter le risque de cancer du sein. Si vous souhaitez prévenir ce cancer, il est alors impératif de s’arrêter de fumer. Si vous n’arrivez pas tout seul, vous pouvez toujours vous appuyer sur l’aide d’un spécialiste.

Manger des aliments aux vertus anticancéreuses

Même si une alimentation saine ne guérit pas le cancer du sein, elle peut en revanche aider à le prévenir. Ces dernières années, de plus en plus de recherches en la matière essayent d’établir une relation entre la qualité de l’alimentation et le risque d’attraper le cancer du sein. Selon certains spécialistes de l’Université de l’Arizona, la probabilité d’avoir un cancer du sein est moins élevée chez une femme en surpoids et mangeant régulièrement des fruits et légumes que chez une femme mince et sédentaire.